Lorsque j’ai dit à celui que j’appelle un ange (voir mon livre Le noeud de la spirale), que les animaux n’étaient pas nécessairement sur terre pour qu’on les tue, il était ravi de ce changement de perspective. Il m’a confié qu’il n’avait jamais envisagé l’existence des animaux sous cet angle et que cela lui donnait matière à réfléchir.
Sans devenir végétarien illico, on peut se demander si les animaux sont sur terre avec nous et non pas pour nous, qu’en penses-tu mon amie ma soeur ?