Lorsque je l’ai vue pour la première fois, j’ai su que je l’aimais. Que l’on ne parle pas la même langue était insignifiant.
Plus tard, je suis sûre qu’elle a senti à quel point j’aimais son fils sincèrement et complètement.
Elle ne sera jamais ma belle-mère finalement, mais j’aurais bien aimé. J’aurais voulu prendre soin d’elle, lui faire des massages, qu’elle puisse respirer un peu, être tranquille en buvant mes bons smoothies verts au chocolat.
J’aurais même rêvé qu’elle soit présente si j’accouchais d’un enfant de son fils.
Les belles-mères ont si mauvaise presse. J’adore ma future belle-mère, sans encore la connaître. Je lui envoie de bonnes ondes dès maintenant.