Je me souviens d’A., qui voulait devenir avocat au conseil pendant nos études de droit. Elle prenait de la codéine pour tenir le rythme.
Même si je n’ai jamais pris de drogue, je suis consciente d’avoir vraiment abîmé ma santé en ne faisant que travailler et m’occuper des enfants pendant le reste du temps.
J’encourage toutes les femmes à reprendre leurs études. Mais en gardant à l’esprit qu’il doit exister un moyen de ne pas totalement en sacrifier sa santé.